Peut-on acheter de la cryptomonnaie avec sa banque ?
Oui, mais seulement dans de rares cas. La banque traditionnelle chez qui vous détenez un compte n’offre généralement pas la possibilité d’acquérir directement des monnaies virtuelles comme le Bitcoin ou l’Ethereum. Certaines entités bancaires récentes s’y sont toutefois mises. Pour la majorité des débutants, le moyen le plus répandu demeure de passer par des exchanges centralisés (Binance, OKX, Coinbase, Bitvavo…) où l’on peut convertir ses euros en crypto-actifs après un simple virement. Dans cet article, nous allons comprendre pourquoi il n’est pas évident d’acheter de la cryptomonnaie via sa banque, et quelles alternatives existent si vous tenez à gérer vos actifs numériques en toute sérénité.
Table des matières
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Les échanges centralisés, la méthode la plus utilisée
Avant de voir si l’on peut, ou non, acheter des jetons auprès de sa banque, précisons d’emblée que le moyen le plus courant d’acquérir des actifs numériques passe par les plateformes d’échange spécialisées. Sur ces sites, il est possible de créer un compte, de réaliser un dépôt par carte bancaire ou par virement, puis de convertir la devise fiduciaire (souvent l’euro ou le dollar) en token. Voici pourquoi ces exchanges centralisés sont populaires :
- Inscription rapide : une simple vérification d’identité (KYC) suffit la plupart du temps.
- Interface simple : la majorité des débutants peuvent y naviguer aisément.
- Large choix : on y trouve une grande variété d’altcoins, du Bitcoin aux projets plus exotiques.
- Frais de transaction souvent faibles, selon la plateforme choisie et le volume échangé.
En somme, avant même de vous interroger sur l’offre de votre banque traditionnelle, notez que la solution la plus simple reste de passer par un acteur déjà établi dans l’achat et la vente de crypto-actifs. Pourtant, la question demeure : « Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque ? » La réponse est presque toujours négative, et nous allons voir pour quelles raisons.
Pourquoi la plupart des banques ne vendent pas de crypto ?
La nature même des monnaies virtuelles explique en grande partie pourquoi les établissements bancaires classiques ne proposent pas d’achat/vente de cryptomonnaies. Un Bitcoin, par exemple, est conçu pour se passer d’intermédiaires. La blockchain qui soutient cette devise décentralise les processus de vérification et de validation des transactions, ce qui laisse peu de place aux services traditionnels facturés par les banques (frais de tenue de compte, gestion des transferts, etc.). Il est donc logique, d’un point de vue purement économique, qu’une grande partie du secteur bancaire y soit réticente.
L’idée initiale des cryptomonnaies : se passer d’intermédiaires
La première blockchain (celle de Bitcoin) est apparue en 2008, en pleine crise financière, avec la volonté de proposer un système d’échange monétaire sans autorité centrale. Cette technologie a introduit la possibilité de réaliser des transactions en pair-à-pair, validées par un ensemble de nœuds répartis sur le réseau. Ainsi, aucun organe bancaire traditionnel ne vient cautionner ou superviser l’échange, chaque transaction étant sécurisée par la cryptographie et inscrite de façon immuable dans un bloc.
Grâce à ce mécanisme, la monnaie virtuelle s’émancipe des coûts et délais imposés par des tiers, comme les banques ou les opérateurs financiers. Les smart contracts (introduits plus tard, en 2015, avec l’Ethereum) vont encore plus loin, en automatisant certaines clauses de contrats – le tout sans nécessiter l’intervention d’un notaire, d’un administrateur ou d’un gestionnaire tiers. Il est donc évident que cette discontinuité technologique n’avantage pas le secteur bancaire dans son modèle traditionnel.
Une utilisation qui ne profite pas aux banques
Lorsque vous faites un virement, que vous payez un découvert ou que vous souscrivez un crédit, votre banque prélève souvent des commissions et bénéficie de vos dépôts. Dans l’univers de la cryptomonnaie, ces fonctions sont en grande partie remplacées par la blockchain, la proof of stake (pour sécuriser le réseau via le staking), ou encore la DeFi (finance décentralisée), qui propose des prêts et emprunts sans passer par les canaux habituels. Il en résulte un manque d’intérêt voir une claire mise en garde, souvent peu justifiée, de la part des banques à encourager l’adoption de cet écosystème concurrent, où elles seraient moins sollicitées et souvent privées de leurs marges habituelles.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : La méfiance réglementaire autour des cryptomonnaies
Outre le fait que les monnaies virtuelles remettent en cause le modèle économique des banques, le cadre légal et réglementaire se montre encore prudent, voire complexe, pour les banques désireuses de proposer des services crypto. En France, par exemple, les établissements qui proposent le trading ou la conservation de crypto-actifs doivent être enregistrés en tant que PSAN (Prestataires de Services sur Actifs Numériques) auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF). C’est une démarche lourde qui impose :
- Des contrôles stricts en matière de lutte contre le blanchiment d’argent (KYC/AML).
- Une gestion transparente et sécurisée des fonds des utilisateurs.
- Une structure de gouvernance interne adaptée à cette nouvelle activité.
- Des règles spécifiques en cas d’émission de tokenisation ou de gestion de NFT.
Face à ces exigences, la plupart des banques préfèrent s’abstenir, d’autant plus qu’il reste toujours des incertitudes sur la fiscalité crypto et la volatilité de ces marchés. Le secteur bancaire, par définition, est très encadré et doit justifier ses moindres décisions. Il y a donc une forme d’attentisme : attendre que le cadre légal devienne plus stable, ou que la demande des clients devienne si forte qu’il serait impossible de l’ignorer.
Quelques banques qui proposent l’achat de cryptomonnaies
Malgré cela, certaines banques crypto-friendly commencent à émerger. Il peut s’agir d’initiatives émanant de banques traditionnelles, de courtiers ayant obtenu une licence bancaire, ou de néobanques spécialisées. Sur le marché français, on trouve par exemple :
- Banque Delubac & Cie : première banque hexagonale à posséder un statut de PSAN auprès de l’AMF, elle permet d’investir dans le Bitcoin, l’Ethereum ou encore le Tezos avec un compte dédié.
- Deblock : une néobanque française fusionnant un portefeuille numérique non-hébergé et un compte courant, avec achat et vente de crypto-actifs intégrés.
- Revolut : établissement d’origine britannique, techniquement plus proche d’une fintech que d’une banque classique, permettant l’achat, la vente et même le staking de certaines cryptos (Ethereum, Cardano…).
- Trade Republic : à l’origine un courtier mobile allemand, désormais détenteur d’une licence bancaire. Il autorise l’accès à une cinquantaine de crypto-actifs et rémunère aussi les dépôts en euros.
Ces rares exemples sont encore l’exception. Ils illustrent toutefois une tendance naissante : celle de banques ou de courtiers transformant leur offre pour répondre à la demande grandissante en actifs numériques. Les frais, la solidité financière et la sécurité des fonds varient d’un acteur à l’autre, il est donc essentiel de comparer leurs conditions avant de confier vos crypto-actifs à un organisme bancaire.
En quoi ces solutions restent-elles rares ?
Pour un établissement traditionnel, lancer une offre crypto représente un risque à plusieurs niveaux : d’abord, sur le plan de la réputation, car investir sur des marchés volatils peut effrayer les épargnants ; ensuite, sur le plan technique et réglementaire, car il faut mettre en place des infrastructures sécurisées (portefeuilles, custody, etc.) et se conformer aux exigences de l’AMF ou d’autres régulateurs nationaux. Il s’agit donc d’un changement de paradigme profond.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Les échanges centralisés, la réponse la plus accessible
Si vous n’avez pas la chance de disposer d’une banque crypto-friendly, la façon la plus évidente d’acheter des tokens reste de se tourner vers les exchanges centralisés. Pour rappel, un exchange centralisé est une plateforme qui joue le rôle d’intermédiaire de confiance, stockant vos monnaies virtuelles et assurant les conversions avec la devise de votre choix. Parmi les plus connus :
Comment acheter ses cryptos pas à pas grâce aux exchanges
Pour ceux qui débutent, acheter de la cryptomonnaie à travers un exchange reste le parcours le plus simple. Voici en quelques étapes comment procéder :
- Choisir une plateforme : sélectionnez un site réputé, vérifiez sa régulation et consultez les avis d’utilisateurs.
- Créer un compte : fournissez vos informations personnelles et complétez la procédure KYC.
- Déposer des fonds : effectuez un virement SEPA ou utilisez votre carte bancaire pour créditer votre solde en euros.
- Passer à l’achat : sur l’interface d’échange, sélectionnez la crypto que vous souhaitez acquérir (ex : Bitcoin, Ethereum, etc.).
- Stocker vos actifs : conservez vos jetons sur la plateforme ou déplacez-les vers un wallet plus sécurisé, par exemple un portefeuille physique.
À ce stade, vous aurez acheté vos premières monnaies virtuelles sans passer par votre banque, celle-ci n’intervenant que pour le virement initial. La grande majorité des investisseurs particuliers opèrent de cette manière. Certains transfèrent aussi régulièrement des euros de leur compte bancaire vers un exchange pour étoffer leur portefeuille.
Les limites de cette solution
L’exchange centralisé est une sorte de guichet unique pour tous vos achats de crypto-actifs. En contrepartie, vous dépendez fortement de la fiabilité de la plateforme : si celle-ci fait faillite ou subit un piratage, vos fonds peuvent être compromis. De plus, vous restez tributaire des frais de transaction qui peuvent varier selon le volume échangé ou le type de cryptomonnaie.
Pour renforcer votre sécurité, de nombreux utilisateurs préfèrent rapatrier leurs monnaies virtuelles vers un portefeuille hors ligne (cold wallet), comme Ledger ou Tangem. Cela vous garantit un contrôle total de vos clés privées, mais requiert un peu plus de connaissance technique. Dans tous les cas, cette solution n’implique pas directement les services d’une banque traditionnelle.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Et la DeFi dans tout ça ?
Un mot sur la DeFi (finance décentralisée) : cet écosystème en pleine expansion vise à offrir les mêmes services que la banque (prêts, emprunts, échanges, rendement) mais en s’appuyant sur des dApp et des smart contracts. Il élimine largement le recours aux intermédiaires bancaires. Les projets de DeFi prolifèrent sur plusieurs blockchains comme Ethereum, Polygon, ou encore la BNB Chain.
Là encore, la logique s’oppose frontalement à celle des banques : dans la DeFi, vous prêtez ou empruntez sans intermédiaire, grâce à des contrats autonomes qui gèrent le collatéral, le taux d’intérêt et la liquidation en cas de défaut. Ce modèle, bien que risqué à cause de la volatilité propre à la jeunesse des cryptomonnaies, éclipse le rôle traditionnel des banques.
En quoi cela dissuade encore plus les banques traditionnelles ?
La DeFi est l’illustration de ce que les monnaies virtuelles peuvent faire : proposer un écosystème financier quasi autonome, où la blockchain se substitue aux institutions habituelles. Il est donc logique que la grande majorité des établissements bancaires tardent à adopter cette technologie, voire la considèrent avec méfiance. Le partage du pouvoir entre des milliers de nœuds, le refus de centralisation et la transparence radicale de la blockchain bousculent les approches séculaires de la banque. Difficile donc pour une entité visant le profit par l’intermédiation d’embrasser cette vision décentralisée.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Perspectives d’avenir, vers plus d’intégration ?
Malgré tous ces freins, on observe une évolution progressive. De grandes banques comme JPMorgan ou Goldman Sachs mènent des expérimentations sur les blockchains privées ou investissent dans le secteur des actifs numériques. Le rôle des banques pourrait se redessiner autour de services comme la conservation sécurisée des cryptomonnaies (la custody) ou la mise en place de produits dérivés plus classiques. En Europe, la réglementation MiCA (Markets in Crypto-Assets) instaure un cadre commun qui pourrait encourager certaines banques à franchir le pas.
Un changement de discours progressif
Nombre de dirigeants bancaires reconnaissent désormais la place croissante des cryptomonnaies dans l’économie. S’il devient inévitable de proposer de tels produits pour rester compétitif, alors les banques s’y engageront. L’exemple de certaines fintechs prouve qu’il existe une demande réelle pour des services hybrides, combinant monnaie fiduciaire et monnaie virtuelle. Toutefois, ces transformations prendront du temps et impliqueront une mise en conformité accrue, notamment sur la question de la fiscalité crypto, des obligations liées au PSAN et de la gestion des risques.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Comment utiliser malgré tout sa banque pour acquérir de la crypto ?
Si votre établissement bancaire ne propose pas directement l’achat de crypto-actifs, vous pouvez encore vous en servir de façon indirecte :
- Effectuez un virement vers un exchange centralisé : c’est la méthode la plus fréquente. Vous déposez des euros sur la plateforme, puis vous convertissez en Bitcoin ou en d’autres tokens.
- Utilisez votre carte bancaire : certaines plateformes acceptent directement le paiement par carte pour acheter des cryptomonnaies, bien que les frais soient parfois plus élevés que par virement.
- Surveillez les offres de néobanques : si vous êtes client d’un service comme Revolut ou N26, vous pouvez avoir accès à une section “Crypto” intégrée dans leur application. Ces options restent toutefois limitées si vous souhaitez faire du trading avancé ou transférer vos monnaies virtuelles vers un wallet externe.
Dans tous les cas, il convient de lire attentivement les conditions de votre banque. Certaines imposent des restrictions sur les virements à destination d’exchanges étrangers, ou peuvent bloquer temporairement un paiement jugé suspect. Selon le pays d’implantation de la plateforme d’échange, il arrive parfois que les banques procèdent à un examen renforcé des transactions.
Les limites à considérer
- Blocage potentiel : certains établissements peuvent geler un virement vers un exchange s’ils estiment qu’il existe un risque de fraude ou de blanchiment.
- Frais bancaires : vérifiez que votre banque ne facture pas de commissions supplémentaires pour ce type de virements internationaux.
- Retraits difficiles : si vous vendez vos cryptomonnaies sur un exchange et souhaitez récupérer vos euros, la banque peut demander un justificatif de l’origine des fonds.
Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque : Zoom sur les services automatisés par les cryptos
Pour bien saisir ce qui pose problème aux banques, rappelons tout ce que les cryptomonnaies permettent de faire sans intermédiaire :
- Réaliser un transfert de fonds vers l’autre bout du monde, 24h/24, 7j/7, sans frais excessifs.
- Sécuriser des transactions dans un ledger public, infalsifiable et consultable par tous.
- Automatiser la gestion de certains droits ou paiements grâce aux smart contracts.
- Créer des stablecoins indexés sur des monnaies officielles, afin de contourner les fluctuations et de faciliter les échanges.
- Autoriser la création de dApp ou d’organisations autonomes décentralisées (DAO) capables de fonctionner sans hiérarchie fixe.
Ces fonctions sapent en partie le rôle d’intermédiaire que la banque exerce habituellement. Dans un modèle purement décentralisé, elle n’est plus qu’un opérateur optionnel pour la simple conversion euro-crypto. Ce constat explique largement pourquoi la majorité des établissements n’ont pas d’intérêt immédiat à proposer l’achat ou la vente de crypto-actifs.
Cas particulier : la tokenisation des titres
Il faut nuancer le tableau en mentionnant la tokenisation d’actifs financiers (actions, obligations, parts de fonds). Des acteurs institutionnels et certaines banques commencent à envisager la blockchain comme un moyen de simplifier la garde et le transfert de titres, de rendre le règlement-livraison plus efficace. Dans cette optique, la banque conserverait un rôle de custody des actifs, et toucherait des commissions sur la mise en place de ces infrastructures. On parle alors de blockchain privée ou de consortium, ce qui s’éloigne parfois de la philosophie d’une cryptomonnaie publique. Néanmoins, ce type de développement démontre que la frontière entre la finance traditionnelle et la finance décentralisée peut s’estomper à terme.
Conclusion : la banque, un acteur secondaire pour l’achat de cryptos
La réponse à la question « Peut-on acheter de la crypto monnaie avec sa banque ? » est la plupart du temps négative. Les banques traditionnelles ne proposent pas (encore) ce service, car les blockchains et la décentralisation remettent en cause leur modèle économique. Elles craignent également la volatilité des cryptomonnaies, l’incertitude réglementaire et la complexité d’une infrastructure entièrement nouvelle. Quelques rares établissements ou néobanques sortent du lot, mais demeurent l’exception plutôt que la règle.
En attendant, les investisseurs débutants comme confirmés trouvent le plus souvent satisfaction via les exchanges centralisés, où il suffit de faire un virement depuis son compte bancaire pour acquérir des tokens. Certains privilégient ensuite la DeFi pour faire fructifier leurs actifs numériques et contourner les limites du système bancaire. Les banques, de leur côté, se concentrent sur les services qui leur sont historiquement profitables et s’adaptent lentement aux nouvelles réglementations imposées par les instances nationales et internationales.
Si vous cherchez une solution 100 % bancaire pour investir en monnaies virtuelles, vérifiez les offres de certains acteurs spécialisés comme Delubac & Cie, Trade Republic ou Deblock. Sinon, la voie la plus directe reste d’ouvrir un compte sur un exchange centralisé et d’y acheminer vos fonds depuis votre banque, tout en respectant les règles de fiscalité crypto et de déclaration de vos gains. À terme, il n’est pas exclu que les banques intègrent davantage de solutions pour répondre à l’engouement des particuliers, surtout si la réglementation européenne (MiCA) se révèle stable et incitative. Mais pour le moment, c’est la finance décentralisée qui tire le marché et pousse l’innovation, laissant la banque en retrait.
Les investissements dans les crypto-monnaies sont risqués. Crypternon ne pourrait être tenu responsable, directement ou indirectement, pour tout dommage ou perte causé suite à l’utilisation d’un bien ou service mis en avant dans cet article. Les lecteurs doivent faire leurs propres recherches avant d’entreprendre toute action et n’investir que dans les limites de leurs capacités financières. Les performances passées ne garantissent pas les résultats futurs. Cet article ne constitue pas un conseil en investissement.
Certains liens de cet article sont des liens de parrainage, ce qui signifie que si vous achetez un produit ou vous inscrivez via ces liens, nous percevrons une commission de la part de l’entreprise parrainée. Ces commissions n’entraînent aucun coût supplémentaire pour vous en tant qu’utilisateur et certains parrainages vous permettent d’accéder à des promotions.
Recommandations de l’AMF. Il n’existe pas de rendement élevé garanti, un produit présentant un potentiel de rendement élevé implique un risque élevé. Cette prise de risque doit être en adéquation avec votre projet, votre horizon de placement et votre capacité à perdre une partie de cette épargne. N’investissez pas si vous n’êtes pas prêt à perdre tout ou partie de votre capital.
Pour aller plus loin, lisez nos pages Mentions Légales, Politique de confidentialité et Conditions générales d’utilisation.